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Comment devenir un leader ?

Comment maitriser, exploiter et gérer ses émotions ?

Comment parler en public ?

Comment surmonter et gérer le stress ?

Comment vaincre sa timidité ?

Comment se motiver ?

Comment convaincre ?

Comment gérer ses points forts et ses points faibles ?

Comment apprendre à dire NON ?

Comment améliorer son intelligence ?

Comment gérer les critiques ?

Comment surmonter la dépression et les moments difficiles ?

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BOOST YOUR MIND VOUS AIDE A REPONDRE A TOUTES CES QUESTIONS A TRAVERS UNE FORMATION DE QUALITE. POUR NOUS SUIVRE ET VOUS INSCRIRE, VOUS POUVEZ CLIQUER SUR LE BOUTON QUI SUIT 

10 conseils pour apprendre à vaincre sa timidité
 

1.    N’ayez pas honte de votre timidité. Acceptez-vous comme vous êtes et assumez-la ! Moins vous y penserez, plus vous aurez des chances de la faire disparaître.
2.    N’ayez pas peur du jugement des autres. Apprenez à accepter les critiques, quand elles sont constructives, pour progresser et laissez de côté les remarques blessantes.
3.    Parlez de votre timidité avec vos proches. Expliquer aux autres ce que vous ressentez vous permettra d’identifier ce qui vous intimide, quelles situations, quelles personnes…
4.    Pratiquer une activité sportive peut vous aider à évacuer votre timidité et à vous intégrer dans un groupe.
5.    Ou bien lancez-vous dans une association de théâtre pour apprendre à parler devant les autres sans gêne.
6.    Apprenez à vous affirmer. Osez dire non, allez vers les autres, créez le contact au lieu de l’éviter à tout prix.
7.    Acceptez les exposés à présenter devant vos camarades de cours. Lancez-vous ! C’est en forgeant qu’on devient forgeron. Plus vous vous exprimerez à l’oral, plus vous acquerrez confiance en vous.
8.    Apprenez à respirer calmement. Avant un examen ou un entretien d’embauche, inspirez profondément par le nez puis expirez doucement pour faire évacuer votre stress et votre peur de rater.
9.    Pensez positif. Ne vous imaginez pas systématiquement en situation d’échec mais représentez-vous plutôt en train de réussir votre prestation. Rassurez-vous, dites-vous que vous ne valez pas moins que les autres, que vous êtes tout à fait capable d’y arriver.
10. Si votre timidité vous gâche la vie, n’hésitez pas à consulter un psychologue ou un coach. Il saura vous accompagner, trouver les mots et les moyens de vous aider à chasser votre timidité.

INFORMATIONS SUR LA FORMATION

-Objectif : Faire de vous des leaders
-Lieu : Côte d'Ivoire, Abidjan, Cocody, CIAD
-Période : Chaque Trimestre (Janvier/Avril/Juillet/Octobre)
-Durée : Formation sur une semaine 
-Prix : (Nous contacter)
-Nos contacts : 0173800072/0101833092

COMMENT DEVENIR UN LEADER

Comment devenir un leader


Si vous avez acquis une personnalité attractive et charismatique en appliquant la méthode de ce livre, alors vous possédez toutes les cartes pour devenir un leader. Jouez ces cartes.  
Certaines personnes ont un sens inné de l’autorité. La plupart des personnages historiques qui avaient du charisme étaient des chefs.  Le magnétisme émanant d’eux attirait une multitude de supporters et de disciples. Cette autorité, ce pouvoir personnel, peut être acquis avec méthode.  
Tout d’abord, voyons quel genre de pouvoir vous avez déjà. Faites le test suivant pour savoir si vous avez ou non tout ce qu’il faut pour devenir un leader, dans l’état actuel des choses. 
 
Test: Possédez-vous les qualités d’un leader? 
 
1. Observez les trois rangées de chiffres ci-dessous. Si vous les additionnez entre eux pour avoir trois sommes, laquelle de ces trois sommes est la plus grande ? (Vous avez dix secondes pour répondre- Ne trichez pas) 
 
a.    0 8 3 6 0 1 5 7 
 
b.    5 1 9 0 0 3 5 1 4 0 
 
c.    4 1 9 0 5 0 1 4 
 
2.    En général, les gens ont besoin de savoir pourquoi on leur a donné l’ordre de faire quelque chose. 
o    Vrai  
o    Faux 
 
3.    Vous croyez qu’il y a des moments où vos décisions ne devraient pas être mises en cause. 
o    Vrai 
o    Faux 
 
4.    Les chefs doivent établir une relation personnelle avec les gens qu’ils dirigent. 
o    Vrai 
o    Faux 
 
5.    Pour donner une impression d’objectivité, le patron devrait refuser d’écouter les problèmes de ses collègues. 
o    Vrai   
o    Faux 
 
6.    Dans tout groupe représentatif d’une population, certaines personnes sont si faibles ou si stupides qu’elles ne sont jamais bonnes pour faire quelque chose.

o    Vrai  
o    Faux 
 
7.    Un bon leader doit être craint par dessus tout. 
o    Vrai  
o    Faux 
 
8.    Demander un conseil auprès des collègues ou d’un membre de la famille est un signe de faiblesse. 
o    Vrai  
o    Faux 
 
9.    Les éloges sont plus productifs que les critiques.  
o    Vrai 
o    Faux 
 
10.    Il est mieux de travailler au jour le jour que de faire des tas de projets.  
o    Vrai 
o    Faux 
 
11.    Les émotions d’un chef ont très peu d’influence sur la productivité de ses subordonnés. o Vrai o Faux 
 
12.    Si vous êtes en colère contre quelqu’un, vous devriez le montrer au lieu de vous retenir.

o    Vrai   
o    Faux 
 
13.    Un vrai patron devrait faire lui-même la plus grosse partie du travail.  
o    Vrai  
o    Faux 
 
 
 
 
 
Réponses 
1. a           6.     faux    10.     faux 
2. vrai      7.     faux   11.     faux 
3. vrai     8.     faux    12.     faux 
4. faux    9.     vrai    13.     faux
5. faux   
  
 
 
Résultats 

 

Attribuez vous-même 10 points pour chaque réponse correcte. 
   
Si votre score est entre 110 et 130 (les maximums) points: 
 
Vous avez l’étoffe d’un leader, à condition que vous ayez répondu honnêtement aux questions. 
Si vous n’occupez pas un poste de responsabilité en ce moment, c’est parce que probablement vous ne vous en êtes jamais soucié, ou tout simplement parce que cela ne vous intéresse pas. Ce qui est dommage car vous auriez pu être un excellent directeur. 
Vous avez le talent et l’instinct pour acquérir un pouvoir personnel, et le bon sens de ne pas en abuser.  
 
Si votre score est entre 50 et 100 points. 
Vous n’êtes  sûrement pas un leader né, mais  vous pouvez sûrement en devenir un en apprenant les techniques adéquates. Par exemple, suivez la méthode décrite dans ce chapitre. Vous ne devriez pas avoir de problème pour être le chef de la classe. Tout ce qu’il vous faut c’est un peu de discipline et de persévérance. 
 
Si votre score est de 40 points ou moins. 
Vous êtes sans aucun doute une personne timide et introvertie. Vous vous sentez à l’aise avec vos livres pour étudier que d’être à la tête d’une hiérarchie. Mais vous pouvez vaincre votre timidité en appliquant les méthodes contenues dans ce livre. Vous pourriez découvrir dans vousmême un goût caché de l’autorité. 
Et même si ce n’est pas le cas, il est toujours utile de savoir comment gouverner le bateau. Vous ne saurez jamais quelles situations la vie vous réserve.  

 

Christian H. Godefroy

Quelle est votre personnalité ?

Combien de fois, au cours du dernier mois, par exemple, avez­-vous prononcé le mot «personnalité» ?

Probablement une quinzaine, sinon plus. Nous disons de quelqu’un que sa personnalité est forte, qu’elle est attachante, qu’elle est particulière, qu’elle est fade, etc. Ou bien, nous jugeons que telle ou telle de nos connaissances «n’a aucune personnalité».

Mais qu’est­-ce que cette «personnalité» ?

La personnalité se compose d’une mosaïque de caractéristiques dont le jeu perpétuel en nous finit par engendrer nos divers comportements. Par conséquent, notre personnalité englobe toutes nos qualités, tous nos défauts et c’est grâce à elle que chaque être humain est unique au monde. Comment l’acquérons-­nous ?

C’est une question sur laquelle se sont penchés bien des chercheurs et des philosophes. Aujourd’hui, toutefois, on admet que la personnalité est le fruit d’un certain nombre de facteurs héréditaires sur lesquels viennent se greffer les influences extérieures, notamment pendant nos premières années de vie.

Cependant, quel que soit votre bagage héréditaire, culturel ou éducatif, sachez bien que vous êtes en mesure de changer votre personnalité, de l’améliorer, de la renforcer ou encore d’en arrondir les angles.

Les 6 caractéristiques d’un leader

A quoi ressemble la personnalité d’un leader, d’un être qui dégage du charisme ?

Il semble qu’elle possède en gros 6 caractéristiques fondamentales.

 

La simplicité

Pour commencer, sachez que les personnes charismatiques sont simples. Ce sont les ratés qui font preuve d’arrogance envers autrui. Dans un groupe, une personne charismatique n’essaiera jamais d’attirer l’attention des autres en vantant ses qualités, en faisant étalage de ses vertus. Elle ne tentera pas de se mettre en valeur.

 

La capacité d’écouter autrui

Il y a quelques années, une revue populaire a organisé un concours de dictons. Les lecteurs ont concocté plusieurs milliers de petites phrases plus ou moins spirituelles et une personne a notamment envoyé le dicton suivant : «Ceux qui vous parlent d’eux-­mêmes sont des raseurs, ceux qui vous parlent des autres sont des commères mais ceux qui vous parlent de vous sont de brillants causeurs.»

Rien de plus vrai. Si vous souhaitez acquérir une personnalité magnétique, vous devrez apprendre à encourager votre interlocuteur à s’exprimer, à vous parler de lui. Posez­lui des questions sur son travail, sur ses loisirs, sur son violon d’Ingres et ainsi de suite. Donnez-­lui l’occasion de se révéler à vous.

 

La confiance en soi et l’audace

La timidité, dont nous parlerons un peu plus en détail au chapitre qui lui est consacré, n’est pas à proprement parler un défaut lorsqu’elle n’est pas exagérée, lorsqu’elle revêt plutôt l’apparence d’une certaine réserve.

Toutefois, si elle vous empêche de communiquer avec autrui, de prendre la place qui vous revient de droit, de rencontrer des personnes avec qui vous auriez des affinités, de réussir des examens oraux, de donner votre pleine mesure au cours d’entrevues, alors vous devriez la soigner. Les personnes charismatiques ne sont pas atteintes d’une timidité excessive ou, si elles l’ont été, elles ont réussi à s’en défaire. Nous verrons comment.

 

La capacité d’agir sans tergiverser

En bref, cela signifie que vous devez éviter de remettre au lendemain ce que vous pouvez faire le jour même. Les personnes charismatiques ne sont ni négligentes ni paresseuses. Si la «procrastination» ­ le fait de remettre au lendemain ­ est l’un de vos défauts, vous devrez à tout prix vous en débarrasser. Un chapitre est consacré à ce problème.

Soyez honnête : Admirez-­vous les gens qui, autour de vous, sont incapables de prendre une décision rapide, qui traînent derrière eux tout un fardeau de tâches qu’ils auraient dû accomplir des mois auparavant, qui sont toujours en retard, qui se retrouvent sans téléphone ou sans électricité parce qu’ils remettent toujours au lendemain le paiement de leurs factures ?

 

Le respect de tous les engagements

Cela vous parait­il évident ? Pourtant, vous seriez étonné d’apprendre combien de gens ne respectent pas leurs engagements. Bien sûr, me direz­vous! Mais c’est surtout lorsqu’il s’agit d’engagements mineurs !

Et bien c’est justement là que vous vous trompez ! Car il n’existe pas d’engagements mineurs !

Un engagement est toujours majeur, qu’il s’agisse de promettre à quelqu’un de faire une partie de tennis avec lui ou d’accepter de prêter une somme importante à l’un de vos amis s’il se trouve en difficultés. On vous jugera tout aussi catégoriquement sur votre ponctualité à un rendez­vous entre amis, par exemple, que sur la manière dont vous payez vos dettes. Les personnes charismatiques sont des êtres sur lesquels on peut compter. Ce sont des rocs, des falaises, des points fixes dans un univers mouvant.

 

Etre bien dans sa peau

Attention ! Etre bien dans sa peau ne signifie pas ressembler à Isabelle Adjani ou à Robert Redford. La beauté physique n’a rien à voir avec le magnétisme de la personnalité, on ne le répètera jamais assez.

Le président Roosevelt était invalide, Cicéron était, d’après les descriptions de ses contemporains, affligé d’un physique plutôt repoussant et ni notre brave Jeanne d’Arc ni la reine Elizabeth Ière n’eussent été présélectionnées pour un concours de beauté féminine. Et que dire de personnages tels qu’Alice Sapritch ou Fernandel qui constituent, à eux seuls, de véritables phénomènes socioculturels !

Pour être bien dans votre peau, vous devrez, comme les personnages que nous venons de mentionner, accepter votre physique et ses défauts irrémédiables, voire en tirer parti.

Cette tâche vous sera facilitée si vous faites des efforts pour porter remède à ce qui, chez vous, peut être amélioré. Vous trouverez quelques idées à cet égard aux leçons V et VI.

Maintenant que vous savez ce que vous devriez être, il va vous falloir cerner votre personnalité actuelle. Car c’est seulement une fois que vous saurez exactement qui vous êtes que vous pourrez essayer de vous façonner à votre guise.

 

Comment mieux vous connaître

Pour apprendre à vous connaître, vous devrez faire preuve d’une qualité essentielle : l’honnêteté envers vous­même.

Pour commencer, vous allez être votre propre confesseur et établir la liste non de vos récents péchés mais plutôt de vos caractéristiques, positives et négatives.

Ensuite, un petit test vous permettra de déterminer si vos relations avec autrui laissent à désirer. Les personnes charismatiques ne sont ni introverties ni extraverties. Elles ont trouvé un équilibre parfait entre ces deux types de réactions face aux autres.

 

Un Conseil : Si vous avez vraiment peur de manquer d’honnêteté envers vous-­même, si vous êtes convaincu que vous risquez de laisser dans l’ombre des aspects de votre personnalité qui, même s’ils ne sont pas particulièrement négatifs, provoquent en vous un réflexe de dissimulation, faites analyser un échantillon de votre écriture par un service de graphologie.

Le rapport graphologique étalera noir sur blanc, devant vos yeux, toutes vos caractéristiques. Peut-­être éprouverez­vous des surprises désagréables mais, si tel est le cas, répétez-­vous que chacun de nous est capable de changer.

Si vous doutez de vous-­même et de votre capacité de jugement mais n’osez pas faire appel à un service de graphologie, interrogez l’un de vos proches, quelqu’un qui vous aime tout en étant lucide à votre égard.

N’allez surtout pas demander à l’âme sœur que vous avez rencontrée il y a six mois d’énumérer vos défauts. Evitez également de poser ce genre de question à vos parents. Rares sont les pères et les mères capables de juger leur progéniture avec lucidité.

Interrogez plutôt un ami d’enfance ou un vieil ami de votre famille, un frère ou une soeur, quelqu’un avec qui vous travaillez depuis plusieurs années, un de vos anciens professeurs qui vous connait bien, un psychothérapeute que vous avez eu l’occasion de consulter à un moment de votre vie, etc.

Qu’est ce qui constitue le pouvoir personnel d’un vrai leader ?  
 
1.    Un vrai leader ne rencontre aucun problème pour avoir le soutien de ses sympathisants. 
Une personne qui possède des qualités réelles de chef, n’a pas de problème pour obtenir un soutien efficace. Certaines personnes acceptent volontiers de se plier sous les ordres par égard pour leur chef, sans se poser des questions. Ceci est l’un des caractéristiques d’un vrai pouvoir personnel. 
 
2.    Un vrai leader influence les autres. 
A mesure que votre pouvoir personnel se développe, vous influencerez les autres plus facilement. Sans faire d’efforts particuliers, vous arriverez à las convaincre. Les gens vous écouteront, suivront vos conseils, et essaieront de vous imiter. 
 
3.    Un vrai manager sait comment gérer son temps. 
Un vrai manager est quelqu’un qui sait comment gérer son temps, comment s’organiser parfaitement, et être toujours ponctuel.  En respectant son propre emploi du temps, il respectera également celui des autres.  
 
4.    Un vrai manager sait comment vendre. 
Utiliser son pouvoir personnel signifie savoir comment convaincre les gens. Par conséquent un bon leader est aussi un bon vendeur, capable de faire de bonnes propositions et de rallier les gens à sa cause. Un leader sait comment se vendre lui-même, et ses idées.  
Si vous suivez la méthode décrite dans ce chapitre, vous maîtrisez bientôt ces quatre capacités. Mais avant de développer votre pouvoir personnel, vous devez adoptez une attitude qui automatiquement vous séparera de la masse des suiveurs anonymes.  
 
Etape 1: Commencer à refuser d’être anonyme 
 
Si vous voulez profiter de vos qualités de leadership, la première chose que vous devez faire est de vous émerger de la masse anonyme de vos amis. Vous devrez être remarqué et apprécié. Votre avis, votre compétence et vos dons particuliers doivent être reconnus. Vous devriez vous émerger progressivement. Imposez-vous à travers vos qualités. 
Laissez les autres vous distinguer de la masse par leur propre initiative. 

 

Comment? 
Il y a plusieurs façons d’y parvenir. Ceci dépend de votre mode de vie, et le genre de travail que vous faites. Vous pourriez aussi les appliquer toutes. Les résultats ne seront que spectaculaires! 
Ayez des talents spéciaux 
 
Si vous étiez dans le  marché du travail pour des années, alors vous auriez pu constater que les employeurs,qu’ils soient du secteur privé ou public,ont toujours cherché des candidats qui sont à la fois pluridisciplinaires ou spécialistes. 
 
Il est temps pour vous de leur donner ce qu’ils recherchent! En sus de vos qualifications habituelles lesquelles sont probablement égales à celles de bon nombre de gens, vous devriez acquérir quelques compétences hautement spécialisées dans un domaine déterminé.   
Faites en votre fierté personnelle. Lisez, étudiez, prenez des cours, mettez vous à jour. 
Jamais dans l’histoire de l’humanité il n’a été plus facile d’acquérir des connaissances et des compétences, dans n’importe quelle domaine. Saisissez l’occasion.  
Le simple fait que vous continuez d’approfondir vos connaissances montre à vos employeurs que vous êtes une personne dynamique, toujours prête à développer vos compétences. Et si vous parvenez à acquérir un savoir-faire dans un domaine rare mais utile, ils seront au septième ciel ! 
Vous pourrez vous faire remarquer aussitôt, soyez en sûr. 
 
Donc à partir de maintenant, cherchez dans quel domaine vous pouvez vous spécialiser. Vous ajoutez de nouvelles flèches à votre arc, tout en gardant votre niveau de compétence actuel. Non seulement vous serez d’une plus grande utilité pour vos employeurs, mais vous serez aussi dans une meilleure position pour trouver un emploi, au cas où, pour une raison ou pour une autre, vous perdez votre emploi actuel. 
 
Vous avez tout à gagner! 
 
Dans quel domaine pourrais-je me spécialiser? 
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Comment s’y prendre? 
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Soyez toujours impécablement poli 
 
Il est assez curieux de constater que le simple fait d’être poli suffit pour vous faire remarquer. Dans notre monde du « laisser aller » les gens qui pratiquent les bonnes manières sont plus que jamais appréciés. 
 
Etre poli ne signifie pas être mou ou hypocrite. Au contraire, la courtoisie est une manifestation du respect que vous avez pour les autres.  Remercier quelqu’un pour un service rendu (aussi minime qu’il soit), tenir une porte ouverte pour quelqu’un, sourire à une caissière, un mécanicien ou un porteur, ne pas couper la parole à quelqu’un…  Tous ces petits gestes rendent la vie en société plus facile. 
Ne les négligez pas. Ils ne vous en coûtent rien, et les gens les apprécient davantage aujourd’hui depuis qu’ils deviennent rares. 
Soyez respectueux envers les autres 
 
La déférence (la reconnaissance de l’autorité d’autrui) est aussi une vertu ignorée. Quand nous rencontrons quelqu’un qui semble être respectueux, que ce soit dans la vie de tous les jours ou dans la vie professionnelle, nous concluons immédiatement que c’est une personne faible et servile, ou que cette personne fait semblant dans le but de nous soutirer quelque chose. Débarrassez- vous de cette attitude! 
 
Montrez votre respect à quiconque le mérite. Soit pour son opinion, ses connaissances, ses qualifications, son autorité etc. 
Par exemple, si vous devez faire appel à un plombier, laissez le travailler seul en paix au lieu de rôder autour de lui comme un moustique. 
Respectez sa compétence professionnelle. 
 
Si quelqu’un émet une opinion entièrement contraire à la votre au cours d’une conversation, ne sursautez pas en criant, c’est totalement ridicule. 
Si vous sentez que vous devez être absolument entendu, dites calmement quelque chose comme “je ne peux pas dire que je partage votre opinion parce que… »  
 
Apprenez comment séduire les gens 
Pour vous émerger de l’anonymat, vous devez savoir comment éveiller l’intérêt des personnes de votre entourage. En réalité, susciter l’intérêt des gens ne suffit pas. Si vous voulez vraiment être un leader, vous devez séduire les gens. Faites à ce qu’ils deviennent immédiatement réceptifs à votre pouvoir personnel. 
Le meilleur moyen d’y parvenir se trouve dans vos yeux. Développez un regard saisissant.  


Comment vous réagissez lorsque quelqu’un vous regarde fixement ? 
-    vous ne le remarquez même pas 
-    vous le regardez d’un air provocant 
-    vous êtes gêné 
-    vous vous sentez flatté 
Pour séduire les autres, concentrez vous dans les yeux. Ne soyez pas flatté ou gêné par le regard de quelqu’un. Ne le répondez pas non plus par un regard fixe. Mais montrez que vous êtes au courant de sa présence en lui lançant un regard étincelant, clignotant. 
Ne faites pas de grimace. Ne souriez pas. Regardez tout simplement.  Le clignotement enregistre, et communique à la personne qui vous observe que vous le reconnaissez, même si vous ne la connaissiez pas personnellement. 
 
L’éclat de vos yeux devrait être le même comme si vous aviez repéré  un vieux et cher ami dans la foule.  
Dans ce monde où l’indifférence  et l’égoïsme règne, ce type de contact déclenche un intérêt immédiat pour les autres. Les gens se sentent plus rassurés à votre égard et ils surmontent les barrières habituelles qui vous séparent. 
En d’autres termes, ils deviennent plus sensibles à votre pouvoir personnel.  

Etape 2: Apprendre à diriger 
 
 
1. Trouvez un soutien efficace 
Un chef n’est rien sans la collaboration de ses collègues. L’équipe que vous formez fera de vous un vrai leader. Vous avez absolument besoin d’un soutien efficace et efficient. 
 
Il y a trois manières d’avoir de soutien : par la force, par la ruse, ou en incitant intentionnellement les gens à travailler avec vous. Bien sûr, la valeur de votre soutien dépend par dessus tout de votre motif !  
 
Néanmoins, tous les types de soutien ont au moins une certaine valeur, aussi longtemps que vous le reconnaissez et l’utilisez pour ce qu’il est. 
Ne vous laissez pas duper par n’importe quelle proposition d’aide. Essayez de détecter le motif qui se cache derrière, et si vous pensez que cela vaut la peine, acceptez la.   
 
Naturellement, le meilleur soutien est celui que vous pouvez obtenir d’une manière franche sans avoir recours à la force ou à la ruse.  Comment cela peut-il être accompli au jour le jour? Voici quelques conseils pratiques.  
 
4 conseils pratiques pour être un meilleur leader 
 
1. Ne formulez pas des ordres avec un ton de commandement. 
Vous savez comment vous réagissez face à un petit dictateur? 
Et bien, sachez que tout comme vous, les autres n’aiment pas recevoir des ordres de cette façon. 
Ayez l’habitude de donner des ordres comme si vous formulez une demande, ou comme une décision collective.  
 
Voyez ces quelques exemples : 
Quand vous vous adressez à un subordonné, remplacez : 
“Je veux que ceci soit fait demain matin...” par... 
“Vous me seriez vraiment d’un grand soutien si vous pourriez terminer ceci avant demain matin.” ou... 
“Vous me sortirez d’une mauvaise passe si vous pourriez.... (et expliquez pourquoi).” 
Quand vous parlez à vos enfants, remplacez: 
“ Nettoyez vos chambres où vous ne pourrez pas sortir samedi!”  par... 
“Pourriez vous nettoyez un peu vos chambres avant de sortir? J’en serai très sensible ” 

Toutefois, n’oubliez pas qu’un ordre est toujours un ordre, quel que soit la façon de le formuler .Et ne donnez jamais un ordre à moins qu’il soit absolument nécessaire de le faire. Les gens recevront l’ordre sérieusement.  
 
Pareillement, évitez autant que possible les ultimatums. Il n’y a rien de plus dégradant que de faire l’objet d’un ultimatum.  
Tout aide que vous obtenez de cette façon sera forcé et involontaire, et vous susciterez l’amertume de la personne que vous avez humiliez. Les ultimatums ne devraient être utilisés qu’en dernier recours. Ils sont mieux utilisés par les petits dictateurs que par les vrais leaders. 
 
 
2. Utilisez la technique du “nous” 
Essayez de remplacer “ vous” par “nous” quand vous donnez un ordre. 
En d’autres termes, au lieu de dire à votre secrétaire : 
«  Postez cette lettre aujourd’hui s’il vous plaît. » … vous pourriez dire: 
« Nous devons expédier cette lettre aujourd’hui. Pourriez vous en prendre soin ? » 
 
En remplaçant le “vous” impératif par “nous” vous sollicitez la collaboration volontaire de l’autre personne, basée sur les intérêts communs. 
 
Et bien sûr, cette façon de faire est beaucoup plus efficace. Mais je vous entends dire, ce n’est pas toujours possible de donner des instructions de cette façon. C’est vrai, mais faîtes le autant que possible, et vous verrez que cette technique apparemment simple, est très efficace.  Pratiquez le vous même. Ecrivez les ordres que vous donnez habituellement aux membres de votre famille, ou à vos collègues de travail. 
Puis, reformulez les en utilisant le “nous” autant que possible. Dites les à haute voix. 
Quand l’occasion se présente pour vous de donner l’ordre, utilisez cette technique. Cela paraîtra tout à fait naturel.   

 

3. Une variation de cette technique 
Ordres sous forme de question    : 
 
“Ne pensez vous pas que nous devrions faire quelque chose pour remédier à cette situation ?” 
“Que pensez-vous si nous réparons cette porte?”  
Ces types de questions appellent une décision. Les gens se sentent flattés si vous demandez leurs opinions, et ils sont prêts à faire quelque chose pour vous  
Si vous formulez vos ordres sous forme de question, en utilisant la technique du « nous » 
Entraînez vous à les formuler le plus naturellement possible.  
 
4. Apprenez à déléguer. 
 
Une des questions du test que vous avez effectué se rapporte à la délégation. Un vrai leader sait déléguer.  
Si vous savez que vous avez des collaborateurs efficaces, alors vous n’auriez aucun problème pour déléguer. 
 
Un nombre incroyable de manager se plaint de ne pas pouvoir déléguer même pour les tâches les plus simples. Ils se sentent indispensables pour chaque chose, et passent ainsi leur temps à travailler. Pourquoi ? 
 
Parce qu’ils font à la fois leur tâches et celles de leurs subordonnés.  Comment ils se sont trouvés dans cette situation. Et bien, au lieu de faire des commentaires sur les défauts de leurs employés, ils devraient consacrer du temps pour penser à leurs propres défauts en tant que chef. 
Parce qu’un mauvais chef n’aura jamais de bons collaborateurs. 
Apprenez à faire confiance à vos collègues. Faites l’exercice suivant. 
 
 
Exercice: inventaire des tâches 
 
1. Listez toutes vos tâches quotidiennes. 
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-    Relevez les tâches qui vous donnent le plus de satisfaction. 
-    Puis utilisez un autre symbole ou une couleur pour les tâches qui vous semblent les plus importantes, et que vous devez absolument vous en occuper vous-même.  
-    Relevez ensuite les tâches de routine. 

Tâches satisf. Import. Routine. 
 
2. Maintenant faites la liste des personnes concernées. En face de leur nom, notez ce que vous pensez être leur points forts, leur spécialité,et leur principale qualité en tant que professionnel.  
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- Maintenant déléguez vos tâches courantes autant que vous le pouvez d’une façon complètement théorique. Divisez la quantité de travail selon les caractéristiques respectives de vos collaborateurs. 
 
3.    Calculez maintenant le pourcentage de temps que vous pouvez économiser avec cette délégation théorique. Temps économisé pour les travaux intellectuels plus importants. Vous serez surpris de vos résultats.  
 
4.    Mettez votre théorie en pratique. Si vous avez rarement délégué dans le passé, vous pouvez vous attendre à quelques râles au début. Mais bientôt, vous devriez voir vos employés débordés d’enthousiasme et de bonne volonté .Ils seront finalement contents d’être considérés comme des adultes sérieux et productifs.   

 

5.    Apprenez comment louer les autres.      
Ce type d’attitude a été également prévu dans le test. Souvenez-vous de vos années d’écoles. Etiez-vous plus motivé par les éloges et par les bonnes notes que par les critiques et les blâmes ? 
Nous aimons tous être appréciés. N’hésitez pas à louer vos collaborateurs s’ils font bien leurs tâches. Mais ne flattez pas d’une façon exagérée. Laissez les se rendre compte que vous appréciez les travaux bien faits avec des termes clairs et simples. 
 
« Le rapport que vous avez rédigé la semaine dernière est excellent… »  ou “ j’ai vraiment apprécié l’effort que vous avez fourni …”ou “ j’ai apprécié le travail que vous avez fait”etc. Soyez précis autant que possible. 
Même s’ils ont été déjà récompensé par les heures supplémentaires, vos employés apprécieront d’être considéré personnellement et poliment sur le travail que vous leur avez confié. 
Et à l’avenir vous n’aurez aucun problème pour trouver des volontaires. 
Faites des heures supplémentaires si c’est nécessaire. 
 
6. Résolvez les problèmes rapidement. 
 
Ne laissez pas les situations embarrassantes ou problématiques se développer en crise. Vous serez la première victime! 
Crevez l’abcès dés que vous pouvez le localiser. 
Si certains de vos subordonnés vous semblent tristes ou frustrés, soyez direct et demandez leur quel est le problème.  
Ne dramatisez pas les choses. La confrontation en public n’est pas nécessaire. Faites les simplement comprendre que vous êtes disponible, et s’ils veulent vous parler en privée, ils seront les bienvenus.  
 
Un employé se renfrogne à longueur de journée. 
 
Demandez lui discrètement s’il aime son travail, si tout va bien à la maison, si sa santé va bien, etc. Faites le savoir que vous vous en préoccupez. S’il a un problème personnel, il sera plus ouvert pour vous en parler et se sentira beaucoup mieux ainsi. 
 
Ne posez pas de questions derrière son dos. Il ne l’appréciera sûrement pas s’il découvre votre geste. 
Soyez diplomate. Si la personne n’est pas encore prête à parler, ne la bousculez pas. Faites lui savoir tout simplement que vous espérez voir son problème résolu le plus tôt possible, et que vous êtes là au cas où elle a besoin de vous. 
 

 

Etape trois : Influencer les autres 
 
Afin que vous puissiez appliquer votre pouvoir personnel, vous devez apprendre comment influencer les autres , pour qu’ils ne vous fassent pas de choses nuisibles ou désagréables, mais simplement pour les faire accepter que vous êtes leur chef naturel. Quelques techniques simples vous aident à obtenir ce que vous voulez des autres. Le but de ces techniques est de mettre une autre personne dans une disponibilité d’esprit plus souple et inciter cette personne à vous satisfaire réellement. 
 
1. N’hésitez pas à flatter les gens sur leur apparence  
 
Le simple fait de dire “ ça alors, vous avez l’air en forme aujourd’hui!” a l’effet d’une potion magique sur les gens. 
Nous sommes tous conscients de notre apparence. Si quelqu’un nous fait des compliments sur notre look ou nos habits, cela va égayer notre journée. 
 
Et en louant vos collègues, ou quelqu’un d’autre que vous voulez influencer sur son apparence,  vous influencez vraiment leur façon de voir!  
Si vous dites à quelqu’un « Cette veste vous va bien ! » alors il va commencer à penser que sa veste est superbe. Mais qu’est ce que la beauté si ce n’est qu’une évaluation subjective ?  
Et c’est pour cela que la psychologie de la persuasion a de l’effet.  
 
2. Une arme puissante: l’art d’écouter  
 
Nous avons déjà évoqué cela auparavant : pour que les autres vous aiment, pour obtenir ce que vous désirez, pour être capable de faire sortir les timides de leur tanière, vous devez savoir comment écouter. La plupart des gens adorent parler d’eux, que ce soit à propos de leur succès ou de leurs problèmes. 
 
Vous vous forgez une réputation de maître causeur, si vous laissez les autres parler des livres qu’ils ont lu, de leurs voyages, de leurs mémoires d’enfance, leurs réalisations personnelles etc. 
 
Si un collègue ou un employé veut vous parler de ses problèmes, prêtez lui une oreille sympathique et attentive. S’il vous demande quelques conseils, faites quelques suggestions. Mais jamais au grand jamais, ne parlez pas de vos problèmes. 
 
Cette personne ne voudra pas vous écouter. Mais si vous  voulez l’influencer à faire quelque chose pour vous, alors écoutez ce qu’il veut vous dire.  
Prenez également l’habitude d’écouter les gens qui pourraient faire des tas de choses pour vous. Les informations qu’ils vous révèlent pourraient vous être utiles un de ces jours. 
 
3. Savoir recevoir les critiques  
Ceci vous semble t-il contradictoire? 
Et bien, vous allez voir que c’est tout à fait logique. 
Nous avons toujours fait l’objet de critiques depuis notre enfance. En fait beaucoup de gens trouvent un plaisir sadique de voir les autres faire des erreurs, de les voir blâmés, de se moquer d’eux en public, etc. 
 
Si vous sentez que les gens vous critiquent trop, consolez vous. Il y a une relation directe entre la fréquence à laquelle vous êtes critiqué et celle à laquelle vous réussissez ! Plus vous avancez, plus vous serez critiqué.  En apprenant à accepter les critiques, vous tournez celles-ci à votre avantage. En fait, cela vous aide à étendre votre influence sur les autres. 
 
Voici quelques conseils sur la façon de prendre les critiques :  

- Considérez la critique comme une preuve de votre progrès. En progressant, vous devenez une menace pour les autres qui seront convaincus qu’ils ne pourront jamais égaler votre performance. Cette prise de conscience devrait accroître votre confiance en vous-même.  

- N’essayez jamais de combattre la critique. La réaction spontanée à la critique serait encore une réplique plus pointue. Contrôlez-vous! 
 
Si une personne vous critique sur votre travail, demandez lui calmement comment elle le ferait. Avec un ton respectueux et intéressé, demandez lui simplement qu’est ce qui ne lui plaît pas sur votre travail et pourquoi. 
 
Puis dites lui que vous appréciez beaucoup ses observations et ses analyses. De cette façon, vous désarmez ses critiques .Cette personne vous quittera avec le sentiment d’avoir réussi. 
 
La prochaine fois que vous lui demandez un service, vous pouvez en être sûr qu’elle fera tout son possible pour vous aider. 
Si quelqu’un vous critique sur votre vie privée, votre façon de vous habiller, restez complètement indifférent. La critique sera las d’être ignorée et cherchera d’autres proies. 
 
4. Oubliez votre vengeance personnelle  
Dur à suivre comme conseil! Combien l’être humain souffre du désir de faire vengeance! 
Les auteurs dramatiques Grecs méprisent la vengeance et la décrivent comme la plus terrible des crimes. Nous n’avons pas fait beaucoup de progrès depuis.  
Au contraire! Notre société semble l’applaudir. Si vous ne le croyez pas, allez au cinéma ! 
 
Même si quelqu’un vous cause du tort, ne gaspillez pas votre temps et votre énergie à vous venger de lui. Tôt ou tard, le responsable paiera ses méfaits. La vengeance nous rabaisse au même niveau que celui qui a créer le problème le premier. 
Ne cédez pas!  
 
Un acte de vengeance est d’habitude plus apparent que l’acte de celui qui l’a provoqué. Si quelqu’un veut vous faire du tort, il le fera sournoisement et ne le criera pas sur les toits. Vous serez probablement le seul à le savoir. 
Si vous êtes sûr que vous êtes dans le droit de faire vengeance et vous vous décidez de le faire, vous ne faites que vous attirer d’ennuis. Les gens jugeront votre acte hors du contexte, et ils vous blâmeront. Ce n’est pas une façon d’influencer les autres. Vous serez vu comme une personne vindicative, injuste et insignifiante. 
 
5. Evitez la familiarité déplacée 
La familiarité engendre le mépris comme disait l’adage. , vous devriez prendre conscience que vous pouvez exercer plus d’influence sur les gens si vous maintenez une certaine distance. 
 
Adressez vous toujours à vos subordonnés ou à vos collègues avec respect. De nos jours, les gens commencent par vous appeler par votre prénom dès qu’ils vous rencontrent. Ceci est particulièrement vrai aux Etats Unis où les techniques de ventes et la façon dont les gens vous abordent sont beaucoup plus informelles que partout ailleurs dans le monde. 
 
Laissez d’abord le temps s’écouler avant d’appeler vos interlocuteurs par leur prénom, notamment pour vos relations avec vos subordonnés. Et si vous vous adressez aux gens avec respect, ils se réaliseront bientôt d’où vous venez et feront la même chose avec vous. 
 
6. Gérez votre temps 
 
Si vous apprenez à déléguer efficacement, alors le temps ne sera plus un problème pour vous. Mais les situations de crise existent toujours, aussi bien au bureau qu’à la maison, et c’est toujours ceux qui savent gérer leur temps qui parviennent au sommet. 
 
Quels sont les principes d’une gestion de temps efficace ? 

 

Etablissez une liste de vos tâches quotidiennes 
Ne passez pas votre temps à sauter aveuglément d’une activité à une autre. 
Sachez exactement ce que vous allez faire et comment vous allez le faire. Gardez un agenda avec vous et notez tous vos rendez-vous , numéros de téléphone ,les tâches importantes,etc.  
Quand vous avez fini une tâche, barrez la sur votre liste. Vous allez faire l’expérience d’une sensation agréable. 
Chaque nuit, consultez la page des tâches à faire pour le lendemain. Vous vous réveillez bien dispos pour la nouvelle journée. 
Si vous n’êtes pas capable de faire certaines tâches au jour indiqué, recopiez les pour le jour suivant. Mais autant que possible essayez de respectez votre programme.. 
Combattez toute tendance à remettre les choses au lendemain  
Un leader ne remet jamais les choses à plus tard. S’il le fait, il n’accomplirait jamais rien. 
S’il vous arrive d’avoir une légère tendance à ajourner, relisez ce chapitre décrivant cette pernicieuse habitude et débarrassez-vous en. 

 

Etablissez une liste des priorités. 
Vous ne pouvez pas résoudre tous vos problèmes en une seule fois. Ne vous acharnez pas à faire trop de chose en même temps- en fin de compte vous ne finirez qu’une toute petite chose. 
Faites une liste de vos priorités, et commencez par le début de la liste. Ne vous préoccupez pas des autres tâches pour le moment- leur tour viendra. 
Soyez méthodique ! 
Ne vous laissez pas interrompre au milieu d’une tâche importante. 
Ceci semble évident, mais combien de fois par jour les employés de bureau sont ils distraits par les collègues qui n’ont rien de mieux à faire que de passer leur temps à bavarder? 
Observez autour de vous, et vous réaliserez bientôt que c’est un sérieux problème. 
Faites savoir poliment aux gens que vous ne seriez pas disponible pour les prochaines heures, mais s’ils le veulent, ils peuvent vous voir plus tard. 
Certaines personnes sont réticentes à fermer leur porte de peur d’offenser quelqu’un. Ne soyez pas comme eux, autrement vous n’achèverez jamais votre travail.  
 
Evitez de vous apparaître surchargé  
Si vous voulez avancer dans votre carrière, Dégotez un contrat juteux, ou tout simplement gagner le respect de votre personnel, alors vous seriez toujours frais et dispos. 
Ce n’est pas aussi difficile qu’il paraît. Il n’y a pas de formule magique pour rester frais et dispos quand vous êtes surchargé de travail. 
 
-    Exercice : Nous ne répétons jamais assez cet exercice. Au lieu de vous épuiser, augmentez votre stock d’énergie. Ainsi, si vous voulez être plus efficace à longueur de journée, exercez vous. Comme bonus, vous paraîtrez en plus en meilleure forme !  
 
-    Ayez assez de sommeil : Vous êtes probablement au courant que le sommeil est le baromètre de l’état général de notre santé et de notre esprit. Lisez un livre au lit, et profitez autant que vous le puissiez de vos heures de sommeil. 
 
-    Mangez de l’énergie : Vous ne pourrez pas être frais et dispos si vous mangez du fast food, d’aliments peu nutritif, d’aliments instantanés, etc. Au contraire, prenez du temps pour acheter de la nourriture saine, et la préparer correctement- légumes, fruits, œufs, produits laitier et les hydrocarbonés complexes (notamment le riz et les nouilles) La bonne nourriture nous donne de la couleur aux joues, nous aide à mieux dormir, et nous fait perdre du poids beaucoup plus facilement. 
 
-    Faites des exercices de relaxation et de visualisation : Vous avez en appris dans le chapitre précédent. Passez quelques temps par jour pour votre oasis mental est particulièrement efficace pour régénérer votre énergie.  
 
7. Soyez un bon vendeur 
 
Il est important pour un leader de savoir comment vendre ses idées. Voici un résumé des principes fondamentaux de la vente. 
 
Imaginez que vous êtes le produit à vendre. Voudriez vous savoir comment convaincre les gens à acheter? 
Dans cette méthode, vous apprenez quelques trucs sur l’emballage et la présentation d’un produit. Maintenant tout ce que vous avez à faire c’est d’éveiller l’intérêt de vos acheteurs potentiels, comme tout bon vendeur le fait. 
 
Vous ne pensez pas que le désire d’acheter ne vient pas spontanément n’est ce pas ? Si vous n’êtes pas d’accord vous devriez mieux avoir un autre regard. Les gens n’achètent pas des choses auxquelles ils ont été déjà conditionnés à acheter. 
 
Tout vendeur qui a pris des cours de techniques de vente vous dira que la première étape consiste à exposer à l’acheteur les avantages qu’il pourra tirer de l’achat de votre produit, que ses avantages soient réels ou fictifs.  Toute les fois que vous aurez à vendre une idée, un programme, un projet, ou quoi que ce soit, voyez les arguments qui caractérisent la chose que vous voulez vendre. 
 
Observez les techniques de publicité pour comprendre comment le principe fonctionne. 
Au lieu de vendre la seule marque de bière, la publicité vend le plaisir de boire avec les amis. Au lieu de vendre la voiture, la publicité vend le plaisir d’impressionner les autres, ou le plaisir d’être le type le plus rapide de la route ,etc. 
Voyons maintenant à quoi ressemble un bon vendeur.  
 
Portrait d’un vendeur 
 -    Un vendeur est quelqu’un qui est apprécié par les autres. Il est d’un abord facile, optimiste, heureux, capable d’avoir un bon rire avec le client prospect, parce que le rire crée toujours un lien avec les gens. Nous sommes beaucoup plus attirés par les gens qui nous font rire. C’est un fait qui a été prouvé dans beaucoup de cas.  
 
-    Un vendeur a le don de la conversation. Tout comme le leader, le vendeur sait que pour influencer les gens, il doit leur faire des compliments, les écouter, les encourager à parler d’eux. De cette façon, il établit la confiance. 
 
Par conséquent, si vous voulez que les gens vous écoutent, contrôlez le débit et  l’intensité de votre parole. Trop de passion ne fait que rendre les gens inconfortable et engendre la résistance- les gens ont l’impression que tout ce que vous voulez c’est de leur vendre quelque chose. C’est exactement l’impression que vous devriez éviter de créer. 
 
Peu de passion vous fait paraître indifférent. Si vous ne croyez pas ce que vous dites, comment voulez vous que les autres vous croient?  Cherchez donc une bonne balance qui est simplement un reflet de votre sincérité.  
 
-    Un vendeur sait s’exprimer convenablement. Pour vendre vos idées, vous devez être capable de vous exprimer clairement, d’une manière cohérente et calme.  
 
Essayez d’enrichir chaque jour votre vocabulaire. Nous évitons d’utiliser bon nombre de mots dans le langage français de peur de nous paraître snob ou supérieur. Ne pensez pas comme cela. Prenez du plaisir à ajouter de nouveaux mots et expressions dans votre vocabulaire.  
 
-    Enfin, un bon vendeur doit avoir plein de tact. Quelqu’un qui veut essayer de vous  vendre une voiture, par exemple, n’engage pas la conversation avec des tas de critiques sur les autres voitures, parce qu’il ne sait pas quel genre de voiture vous conduisez actuellement.  
 
Essayez d’éviter d’aborder des sujets controversés, même si vous pensez que votre interlocuteur n’accorde pas d’importance pour une raison ou pour une autre. Vous ne faites que gaspiller votre temps, et vous risquez d’attirer l’animosité des gens que vous voulez être de votre côté.  
 
De tels efforts résultent souvent à l’opposé de ce que vous espérez !

En conclusion, n’oubliez pas que pour acquérir un pouvoir personnel, vous devez suivre toutes les étapes décrites dans ce livre. Et chaque fois qu’une étape est accomplie, elle devrait se fusionner avec celles d’avant. 
Chaque étape suivante est basée sur celle que vous venez de prendre.  
 
Finalement, elles se joindront ensemble pour former un tout indivisible pour parvenir au pouvoir réel. 
A travers ce pouvoir, vous serez capable de comprendre la psychologie des gens que vous dirigez. Mais n’en profitez pas pour tirer bénéfice de leur faiblesse ou de leurs fautes. C’est indigne de vous.  
 
Au contraire, basez votre autorité sur leurs points forts. Si vous les aider à devenir plus compétent et fier de leurs réalisations, vous aurez un soutien de première classe.  
En aidant ceux que vous dirigez, vous vous aidez vous-même.  

 
 
 

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SAVOIR VIVRE ET PROTOCOLE

Savoir vivre

SAVOIR VIVRE

INTRODUCTION  
 
Dans toutes les sociétés organisées, il existe des règles qui régissent les activités et les relations publiques et privées des Autorités et des individus qui les composent.  
Certaines de ces règles sont d’application stricte. Elles ont trait au respect et à la considération dus à l’Autorité. D’autres relèvent du bon sens et de la courtoisie et sont relatives au respect du prochain. 
Ces règles sont destinées à garantir et à maintenir l’ordre et l’harmonie dans les rapports sociaux. Elles varient d’un endroit à un autre, mais sont incontournables. Ce sont les règles de protocole et de savoir-vivre. 
L’intérêt de ces notions est d’abord professionnel, mais également personnel parce que ces notions permettront d’améliorer la façon de se comporter dans les rapports en société. 
La société moderne ivoirienne et son administration publique ayant été façonnées par la colonisation, les règles de savoir-vivre communément admises sont d’origine française.        

 

LES REGLES DU SAVOIR-VIVRE  
 

Le savoir-vivre traite autant des circonstances de la vie familiale, de couple, des relations professionnelles, l’art de la conversation ou des entretiens téléphoniques, les jeux, l’accueil d’amis chez soi, la manière d’organiser les repas etc. 
Le savoir-vivre renvoie aux règles de bienséance et d’étiquette, la politesse. Il concerne aussi : la tenue vestimentaire, l’art de la table, les salutations et les présentations, les invitations et les réceptions dans la vie privée, publique et en milieu professionnel. 

 

    I.     ELEMENTS DE DEFINITIONS 
A-    LE SAVOIR-VIVRE 

Le savoir-vivre nous ramène, aux comportements appropriés ou adaptés permettant de vivre en société ou en communauté. Ces règles, généralement pas écrites, forgent notre conscience et notre appartenance à la société. Sans elles, nous risquons de nous mettre en marge de notre communauté.  
L’identité que confère le savoir-vivre à un Homme détermine sa position dans la société. En clair, les règles de savoir-vivre sont des règles qui nous permettent d’être en conformité avec nous-même et avec les autres pour une vie harmonieuse. Si l’on applique le savoir-vivre, met en pratique les dispositifs du code du vivre ensemble, si l’on respecte les conventions qui régissent les rapports interhumains, alors l’harmonie règne dans le milieu auquel nous appartenons. 

 

B-    LA BIENSEANCE 
La bienséance exprime la conformité aux usages considérés comme appropriés dans une situation donnée dans toute société.  Ce qu’il convient de faire en un lieu précis. 
En Europe, la poignée de main est une marque de politesse, ce qui n’est pas forcément le cas dans d’autre pays et culture. Dans certaines cultures africaines il n’est pas bienséant de regarder dans les yeux la personne ou l’Autorité qui vous parle. Ailleurs, une telle attitude peut être considérée comme un manque d’intérêt ou de respect. 
Les catholiques se découvrent en entrant dans une église, les juifs se couvrent la tête en entrant dans la synagogue et les musulmans se déchaussent en entrant dans une mosquée. 
En tout état de cause, les règles de bienséance sont des moyens choisis en vue de favoriser la communication, la vie dans le milieu social ou professionnel ou partout où l’on se trouve. 
De façon générale, ce sont les règles de bienséance du lieu d’accueil ou de séjour qui prévalent. Cependant tenir compte de la culture des invités sans bouleverser le cadre global est aussi une preuve de savoir-vivre. 
Quelques règles générales de bienséance :  
    saluer par une poignée de main lorsque cela est autorisé ;  
    se lever lorsqu’un personnage important ou une dame entre ; 
    ne pas porter de lunettes de soleil lorsqu’on converse  avec des gens ; 
    remettre sciemment sa carte de visite ; 
    porter une tenue adaptée aux circonstances ; 
    respecter les bonnes manières de table ;  
    confirmer sa présence ou se désister après avoir reçu une invitation… 
 
C- L’ETIQUETTE 
L’étiquette a trait au formalisme des relations entre particuliers, les relations entretenues sur une base individuelle que ce rapport soit hiérarchique ou non. Elle relève du comportement en société et elle concerne les rapports entretenus par les individus dans le contexte de la vie publique.   
Dans tous les pays du monde il est d’usage de donner aux hautes personnalités politiques, aux chefs de missions aux hauts fonctionnaires, autorités administratives et militaires le  titre de leur fonction. 
Dans les présentations on mentionnera donc toujours le titre des membres du gouvernement, des Présidents et Vice-présidents des Assemblées politiques et 
Institutions. 
Les anciens Chefs d’Etat, ministres ou Présidents d’Assemblées ainsi que les hauts fonctionnaires à la retraite continuent de recevoir, par courtoisie, leur ancienne appellation. 
Il convient donc de donner aux hauts représentants étrangers le titre de leur fonction et s’adresser à eux avec la courtoisie requise. 
 
C’est le traitement accordé à une personne au vu de son statut social. 
 
Le vouvoiement et le tutoiement d’une personne relèvent de l’étiquette.  
La règle est que le  « VOUS » est utilisé dans le milieu professionnel et face à un inconnu. 
Le « TU » est indiqué dans les rapports familiaux et amicaux. Il  contribue 
Mais entre collègues, il est permis de se tutoyer si bien entendu, les gens sont d’accord pour le faire.  
Il faut pour ce faire se donner la permission de se tutoyer. 
Lorsque l’on est suffisamment intime à un supérieur hiérarchique ou à une personnalité pour le tutoyer habituellement, on abstiendra de le faire dans les cérémonies officielles ou dans l’exercice de ses fonctions. Il est aussi bienséant de la part d’un subordonné de renoncer à tutoyer le camarade qui, par la suite des hasards de la vie est devenu son chef.  
De même il serait impoli de refuser de tutoyer une personne qui nous le demande. 
à accentuer l’intimité et la convivialité. 
 
D- LA POLITESSE 
La politesse est relative aux attitudes et aux gestes qui visent à manifester du respect envers autrui tout en constituant des moyens pour s’assurer une prise de contact favorable dans la vie publique et privée.  Une personne polie est celle qui a peaufiné, perfectionné ses façons de se comporter envers les autres. Par exemple par son langage et sa tenue vestimentaire.  
Une personne polie est également une personne civilisée et qui fait aussi preuve de civisme. 
 
La politesse repose sur sept (07) principes fondamentaux : 
 
1. La hiérarchie des valeurs 
La société moderne démocratique pose le principe de l’égalité de tous les citoyens devant la loi, de l’égalité des droits et des devoirs. 
Mais ce principe de l’égalité n’exclut pas la hiérarchie des valeurs. Il n’existe pas une société totalement égalitaire.  
En effet, chacun doit être honoré non selon sa fortune mais selon ses mérites, les charges de la fonction, l’âge, le sexe (les femmes). 
La politesse commande donc le respect de la hiérarchie des valeurs. 
On honore celui qui est élevé en rang et responsabilités, on honore les personnes âgées parce qu’elles sont supposées avoir de la sagesse qui mérite le respect.  
On honore les femmes parce que mères et pour la place particulière qu’elles occupent dans la plupart des sociétés.  
Dans les relations sociales, le titre, le rang social s’efface devant la femme. Ce qui n’est le cas sur le plan protocolaire dans les relations officielles ou aucune distinction n’est faite par rapport au sexe. Celui qui a la préséance est celui qui a le rang le plus élevé.  

 

2. La bienveillance du chef 
La bienveillance est la disposition favorable envers une personne de rang inférieur; c’est de lui montrer de la bonté, de l’indulgence. 
La politesse étant fondée sur la réciprocité, la conséquence pour le chef c’est d’être bienveillant envers son subordonné. 
La bienveillance est un devoir essentiel que la politesse impose au chef.  
Il ne doit pas écraser son subordonné du poids de sa puissance.  
Il doit plutôt montrer de l’intérêt pour ce qu’il est et pour ce qu’il fait.  
Il doit mettre  à l’aise ceux qui entrent en contact avec lui.  
Le chef doit montrer à son collaborateur qu’il fait partie de l’équipe et que même à un échelon modeste, sa participation compte et qu’il est associé au service.  
Il doit lui témoigner de la confiance même si elle n’exclut pas le contrôle. L’absence de bienveillance traduit un mépris de l’homme, le manque de politesse du chef traduit la grossièreté, le dédain.  Mais la bienveillance ne doit pas conduire non plus à un excès de familiarité du chef. Il ne doit pas s’immiscer dans sa vie privée. 
La bienveillance ne doit empêcher le chef d’exercer son autorité et sanctionner quand cela est nécessaire. 

 

3.    La déférence du subordonné 
C‘est le fait pour les subordonnés ou des personnes de rang inférieur d’être respectueux, soumis à l’égard de leurs chefs ou des personnes de rang supérieur.  
Cela résulte du fait que non seulement le chef est supposé avoir des connaissances plus étendues, mais surtout du fait qu’il possède une expérience plus grande et des responsabilités plus lourdes à assumer.  Contrepartie de la bienveillance du chef, la déférence est une nécessité pour les subordonnés et l’absence de cette marque de politesse est un manque de respect. 

 

4.    La cordialité des égaux 
C’est le fait pour un fonctionnaire, un employé ou une personne d’être poli et courtois envers un collègue ou un homologue même s’il appartient à une administration différente.  
Une bonne collaboration entre collègues passe par la politesse et la courtoisie. Il en est pour les relations avec les autres fonctionnaires ou employés ou toute autre personne. 
Une demande d’entretien, une communication téléphonique, une lettre devront faire l’objet d’une réponse amicale et immédiate montrant ainsi la considération que celui qui la reçoit éprouve à l’égard de ses pairs.  

 

5.    La discrétion 
La discrétion consiste à garder pour soi les faits dont on peut avoir connaissance dans l’exercice de ses fonctions. 
La discrétion est à la fois une prescription morale et légale appelée « Secret professionnel ».  
Elle est une des bases élémentaires de la politesse. 
La discrétion du Chef consiste aussi à ne pas s’immiscer dans la vie privée de ses subordonnés, à ne pas contrarier leur vie professionnelle ou familiale, à ne pas abuser de leur dévouement. 
Entre collègues, elle consiste à ne pas user exagérément de la liberté que confère l’égalité des conditions ou une étroite amitié. 
Pour le subordonné, elle consiste à ne pas déranger inutilement le chef, à ne pas bavarder de façon intempestive, à ne pas colporter des détails même s’ils sont vrais. 

 

6.    La similitude réciproque des formes 
La politesse dans les relations sociales et professionnelles est marquée par la réciprocité. 
L’on doit se comporter à l’égard des autres comme on souhaiterait qu’ils se comportent à notre égard. 
Dans la conversation, dans les correspondances on usera des formules analogues de part et d’autre mais tenir compte de la hiérarchie.  
Lorsqu’un supérieur use à l’égard d’un subordonné de formule amicale ou familière, ce dernier devra utiliser les expressions qui marquent la déférence, le respect, ces formules n’excluent pas l’amitié ou l’affection. 
 
7.    La galanterie 
La galanterie rassemble une gamme infinies de gestes courtois, prévenants et protecteurs à l’égard de la gente féminine. Elle consiste à :  
    s’effacer dans un escalier en croisant une femme pour la laisser passer; 
    céder à une femme le passage devant une porte mais la précéder en entrant dans lieu; 
    avancer la chaise lorsque la femme s’assied et la mettre en retrait quand elle se lève; 
    aider une femme à enfiler son manteau; 
    précéder une femme en descendant et la suivre en montant les escaliers afin de  la protéger, dans un cas comme dans l’autre, si elle venait à tomber; 
    laisser à la femme le haut du pavé afin d’éviter qu’elle soit éclaboussée; 
    au départ ouvrir la portière de la voiture à une femme et la refermer doucement sur elle avant de monter soi-même.  
    ramasser un objet qu’une femme aurait laissé tomber; 
    porter la valise et tout objet lourd d’une femme; 
    attendre que son invitée d’une soirée soit entrée dans son immeuble après l’avoir accompagnée avant de prendre congé d’elle… 
Et tant d’autres petites attentions insignifiantes en soi mais qui font toujours toute la différence. 
Du reste, toutes ces manières ci-dessus sont à appliquer par tous, hommes et femmes, à l’égard des personnes âgées.   
 
II. LES SALUTATIONS ET LES PRESENTATIONS 

A- LES SALUTATIONS 
Saluer, dire bonjour est une règle de savoir vivre. Cette règle s’impose lorsqu’on rencontre des personnes  chez soi, dans l’escalier, dans la rue, au restaurant ou dans tout autre endroit. 
Les hommes doivent saluer les femmes, les plus jeunes saluent les âgés, le subordonné le supérieur. Mais il n’est pas obligatoire de serrer la main.   Lorsqu’on salue une personne, il faut toujours sourire en regardant la personne, ne jamais détourner son regard.  
 
Quand l’on rencontre une personne de connaissance dans un lieu public, il ne faut la saluer que si l’on est certain de ne pas la gêner ou déranger car il est des circonstances ou certaines personnes souhaitent ne pas être reconnues. Dans ce cas, une inclinaison de la tête ou du buste, un sourire ou un geste discret de la main sont recommandés. 
Par contre, si l’on croise dans la rue une personne avec laquelle on entretient une relation formelle (supérieur hiérarchique, professeur) ou qu’on connait assez peu, il est préférable de marquer cette rencontre par un hochement de la tête seulement.  
Si cette personne est accompagnée il est recommandé de s’abstenir de faire un signe sauf si la personne elle-même fait un geste. 
Enfin, si la personne ne nous a pas remarqué ou fait semblant de ne pas vous remarquer, il est indiqué de ne faire aucun signe. 

 

1. La poignée de main : comment la donner ? 
C’est une poignée de main franche. Les deux pieds sont posés bien à plat sur le sol, on est face à face et la distance est respectée. Je tends la main ouverte avec le pouce vers le haut et j’avance vers l’autre, le contact se produit, les deux paumes se touchent, les deux paumes également et les deux mains sont parallèles. 
Si une table, une chaise ou tout autre obstacle vous sépare, il faudra vous déplacer vers la personne à qui vous souhaitez donner la main. Regardez la dans les yeux sans trop insister, serrez la main d’une façon ferme mais pas trop et puis relâcher la. 
En matière de salutations, c’est le plus âgé qui tend toujours la main, et le supérieur hiérarchique en premier lieu. Lorsqu’on salue une dame, c’est la dame qui tend la main. 
L’usage de se taper les têtes n’est pas protocolaire et ne fait pas partie des règles de savoir-vivre. 
En règle générale, quand on est présenté à quelqu'un, il est préférable d'attendre que cette personne vous tende la main pour prendre la sienne. Ce sont aux personnes qui reçoivent, aux femmes, aux personnes âgées ou d'un certain rang social de tendre la main. 
Les invités, les jeunes, les personnes d'un rang social moindre reçoivent la poignée de main. 
Aussi, lorsque toute une assemblée est réunie dans la pièce où vous entrez, s'il y a beaucoup de monde, ne vous sentez pas obligé de serrer toutes les mains, serrez seulement celle de votre hôte, souriez à tous, en disant un bonjour général. 
 
2.    La bise 
Les salutations entre les hommes et les femmes peuvent s’accompagner de la bise.  
En Côte d’Ivoire on fait trois bise, en France deux. 
Un homme embrassera plutôt sur chaque joue une femme qu’il connait (amie, collègue, parente…).             
Toutefois La bise doit rester le plus informel possible, et n’a aucune connotation sexuelle.  

 

3.    Le baisemain 
Il est un signe de déférence et d’hommage. C’est un signe de raffinement et non une obligation. Il faut donc le pratiquer avec discernement. Le baisemain est un cérémonial. Il ne faut l’employer que dans certaines circonstances. 
Il ne se pratique jamais dans un lieu public, dans un bureau de poste au super marché, dans une gare, dans un café en plein air ou sur un lieu de sport. 
Il ne se fait que dans un endroit clos. 
On ne baise pas la main d’une inconnue et d’une jeune fille mais seulement celle d’une femme mariée. 
Pour le faire on doit s’incliner vers la main que l’on vous tend et non l’élever jusqu’à soi. Il faut simplement effleurer la main des lèvres et non apposer un gros baiser sonore ou également s’abstenir de faire un simulacre ce qui n’est pas très courtois dans les deux cas. 
 
C- LES PRESENTATIONS 
1. Les règles  

En matière de présentation, on présente toujours : 
    les plus jeunes au plus âgés ; 
    les moins élevés dans la hiérarchie sociale, administrative ou militaire aux plus élevés et aux Chefs religieux ;   les hommes aux femmes.  
 
L'importance de la personne l'emporte sur le sexe et sur l'âge. 
On présente une jeune fille ou une très jeune femme à un homme âgé ou occupant des fonctions importantes.  
C’est pourquoi, les jeunes femmes sont présentées aux souverains, princes de sang, aux autorités religieuses, à leurs supérieurs hiérarchiques et parfois à celui de leur mari ainsi qu’à de hautes personnalités, Chefs d’Etat, Ministres, Ambassadeurs, Préfets Sous-préfets, Officiers généraux exerçant un commandement territorial ainsi qu’à des hommes qui occupent dans la société un rang de tout premier plan, académiciens, écrivains ou artistes de renom à moins que par leur l’âge et/ou leur personnalité elles n’aient droit elles-mêmes à la préséance.  
Quand une autre personne effectue les présentations, il est souhaitable de préciser en même temps le titre ou la fonction publique ou privée des personnes présentées.  
Les présentations, en principe, s'effectuent debout. Mais ces cas sont à prendre en compte : 
-    une femme est assise 
Une femme n'a pas à se lever de son siège quand un homme vient la saluer, surtout si elle est enceinte ou d'un certain âge.  
Une femme n'a à se lever pour être présentée ou pour dire bonjour seulement s'il s'agit d'une personne âgée ou d'une personnalité. 
-    une jeune fille se lève toujours 
Sauf si la personne qu'on lui présente est de son âge ou plus jeune. 
-    Attablés, les invités restent assis et accueillent la personne présentée seulement par un sourire. 
 
2. Se présenter soi-même  
S’il n’y a personne pour faire les présentations on se présentera soi-même en articulant son prénom et son nom et en y ajoutant lorsqu’ils s‘agit de relations professionnelles l’indication de sa fonction.  
Lorsque vous vous présentez à une tierce personne, évitez à tout prix le terme “Je suis Monsieur ou Madame X”.  
Il est plus convenable et poli de dire “Je suis [prénom et nom]”.  Cependant, lorsque vous répondez à une salutation, “Bonjour, Monsieur ou Madame” est adéquat, sans mentionner le nom de votre interlocuteur. 
 
 
III. LA TENUE VESTIMENTAIRE 

 

L’adage qui dit « l’habit ne fait pas le moine » n’est pas vérifié ici lorsqu’il s’agit de l’apparence vestimentaire du fonctionnaire, de l’Autorité. Le fonctionnaire et agent de l’Etat doivent être dignes dans leur tenue. La tenue est une marque d’autorité.  Les gens remarquent la tenue vestimentaire. Dès la première rencontre ils se font une opinion : bonne ou mauvaise. 
Quelle impression laissez-vous aux gens, Quels image projetez-vous ? Avez-vous encore un style étudiant, le style d’un débutant ou d’un professionnel accompli ? 
Si de nos jours il est admis qu’il y a plus aucune règle en matière d’habillement, la tenue vestimentaire doit respecter les règles de bon goût, la bienséance et l’intelligence de la situation. Il faut savoir choisir les vêtements qui conviennent à la personnalité et au poste de travail, aux fonctions. Il faut aussi porter une attention particulière à l’hygiène corporelle. 
Un soulier défraichi ou poussiéreux dénote de la négligence, un pantalon porté sans ceinture n’est non plus acceptable en certain milieu et certaine occasion. Un chemisier sans manche, une jupe trop courte, un décolté trop plongeant n’ont normalement pas leur place dans le milieu professionnel.  
Le savoir-vivre implique que le choix du vêtement doit se faire en fonction des autres, du milieu et des circonstances. On bannira les tenues trop claires pour les cérémonies funèbres, les habits de sport pour un baptême ou un mariage ou des fiançailles. 
« Etre beau dans ses chaussures et dans ses chaussettes »= être beau pour soi et pour les autres. 
 
     
IV. LES INVITATIONS ET LES RECEPTIONS  

 

A- LES INVITATIONS 
Une invitation est le fait de proposer à quelqu'un de se réunir en un même lieu pour participer à quelque chose, par exemple « Je vous invite au restaurant ce soir » Elle peut être verbale ou écrite.  
    L’invitation verbale est susceptible d’entrainer des confusions de toutes sortes dont celle de s’exposer à la venue d’invités non souhaités ou d’invités qui se présentent au mauvais endroit à une heure autre que celle qui aurait été voulue. 
    L’invitation écrite détermine formellement qui peut venir à une activité et qui ne le peut pas. Seuls ceux qui la reçoivent y sont attendus.  
L’invitation écrite est indispensable pour les repas si le nombre de couverts est limité. Elle est également utilisée pour les cas où l’on prévoit la participation à une activité donnée d’un nombre limité de personnes faisant partie d’un groupe plus large. Par exemple à un colloque regroupant 100 personnes, vous pouvez inviter 20 à une activité particulière ou à un repas. 

 

1. La carte d’invitation 
La carte d’invitation doit comporter les mentions essentielles suivantes :  
    Qui invite ? 
    Qui est invité   
    A quelle activité est-on convié ? 
    Quand l’activité est-elle prévue ?  
    A quel endroit ? Comment peut-on y répondre ? 
    Quelle tenue vestimentaire est-il recommandé de porter ?  
    Comment s’y rendre ?  
 
2.    La signification des mentions 
RSVP : Répondre S’il Vous Plait, dans ce cas vous devez faire connaître votre réponse avant la tenue de l’évènement ; 
 
RSVP « seulement en cas d’empêchement » : signifie que vous devez signaler votre non-participation ; 
Ou phrase :  
Réponse souhaitée avant le… Prière répondre avant le….. 


3.    Le faire-part  
Le faire-part est un document imprimé faisant une annonce. Il a pour but de prévenir, d’informer l’entourage, famille, amis, collègues et relations d’un évènement personnel ou familial d’une importance majeure et contient éventuellement l’invitation à la cérémonie de l’évènement de : une naissance, un baptême, des fiançailles, un mariage ou décès.  Tout comme la carte d’invitation, il comporte des mentions obligatoires et normalement doit être envoyé avant la cérémonie de l’évènement sauf dans les cas où il n’est pas prévu de cérémonie particulière. Les mentions à porter sur le faire-part dépendent de l’évènement qu’il annonce. 
 

 

B- LES RECEPTIONS 
Les réceptions sont des moments privilégiés de la vie en société. 
Inviter à sa table représente un sommet de la courtoisie et un symbole par excellence des rapports harmonieux ou voulus tels. 
De même être invité à un repas ou être convié à une réception constitue une marque d’attention, de considération et d’honneur qu’il convient de savoir apprécier. 
Une réception peut être donnée pour diverses raisons. Soit en l’honneur d’une personnalité étrangère, nationale ou locale de premier plan, soit pour remercier, féliciter, solliciter un appui, réconcilier des interlocuteurs, célébrer la conclusion d’un accord, commémorer un évènement ou marquer le début de nouvelles relations. 
Une réception peut prendre plusieurs formes : repas (déjeuner, dîner), cocktail accompagné de prestations d’artistes ou d’activités de loisir et de divertissement.  
Notons également que le repas peut revêtir plusieurs formes : repas d’apparat, repas de travail ou amical. Il peut réunir peu ou beaucoup de personnes. 
Lorsque la réception prend la forme d’un repas (déjeuner ou dîner ou cocktail dinatoire) quelques règles sont à observer par l’hôte et par l’invité. 

 

1. Les règles à observer par l’hôte  
 
    Le choix de la nourriture et des boissons sans compter le jour, l’heure et le lieu de l’évènement tiennent compte des valeurs et des  goûts de l’hôte tout en respectant ceux des invités. 
    Notons qu’un repas de cérémonie n’est pas l’occasion de mettre à l’épreuve les manières de table des invités en les obligeant au maniement d’ustensiles inusités ou au découpage d’aliments requérant une dextérité exceptionnelle. On servira donc des plats simples à manger. 
    Il faut par ailleurs tenir compte des restrictions de certains convives liées à des raisons de santé, des allergies éventuelles ou des considérations religieuses. 
    Il ne convient pas également de servir à des visiteurs étrangers des plats de leur cuisine nationale qui ne pourraient jamais être apprêtés aussi bien que dans leurs propre pays ou région. 
    Si l’on a l’habitude de recevoir les convives, il faut éviter que les mêmes plats soient servis. 
    Si l’on prévoit des boissons alcoolisées, la politesse voudrait également que l’on offre des boissons non alcoolisées. Les convives choisiront à leur convenance. Ce n’est pas parce que l’invité d’honneur ou des membres d’une délégation ne consomme pas d’alcool qu’il faut absolument bannir le vin du repas. On prévoira plutôt de servir également des jus de fruits. 
    Toutefois, s’il n’est pas prévu de vin comme dans le cas d’un déjeuner de travail, l’invité doit s’abstenir d’en réclamer. 
    Lorsque cela est possible, l’on change de vin avec chaque plat. Cependant, à midi, un seul vin suffira tout le long du repas, mais deux sont acceptables pour un repas important. Pour le soir, prévoir deux vins : l’un pour le premier plat- habituellement un vin blanc et l’autre pour le plat principal-habituellement-un vin rouge. 
    L’hôte doit éviter de faire l’éloge des vins et plats qu’il sert. Il devra en laisser le soin au maître d’hôtel de présenter et aux convives d’en apprécier la qualité. 
    A des repas d’affaires, le midi, il est fréquent que l’on ne boive pas de vin. 
    Par tradition et c’est l’une des caractéristiques d’un repas important, le nom de l’hôte, celui de l’invité ou de la délégation à l’honneur ainsi le programme musical si cela est prévu sont marqué sur le menu. 

 

Exemple : Dîner offert par Monsieur BLEA
                    Président du Cercle des Amis de la Belle Vie 
                    En l’honneur de son Excellence Monsieur SIE 
                    Directeur général de SISCO 
                    Le mercredi 17 février 2022  
                    Salle des banquets du Palais BOSSU 
                    ABIDJAN  

 

2. Les règles à observer par l’invité 
Des devoirs s’imposent à toute personne invitée à un repas. 
    Le premier et le plus impérieux, répondre rapidement à l’invitation afin de ne pas mettre dans l’incertitude l’hôte ; 
    Bien lire la carte d’invitation et s’assurer que le jour venu l’on soit convenablement vêtu. Se renseigner auprès de l’hôte si l’invitation ne mentionne pas de tenue vestimentaire recommandée ; 
    Arriver à l’heure, pas trop en avance ni trop tard pour ne pas mettre dans l’embarras l’hôte. Pour un repas intime ou entre amis, arriver entre 10 à 15 minutes de l’heure fixée. 
Lorsque qu’on est invité dans une maison, se présenter toujours avec un présent ; pas de parfum à la maitresse de la maison. 

 

3. L’accueil et le service  
Le dispositif mis en place pour l’accueil des invités et service de table témoignent de la solennité et de l’importance de la réception.    
La disponibilité de places de stationnement, l’accueil par les agents du protocole et l’hôte sont synonymes de courtoisie et savoir vivre. 
Le service de table peut revêtir différentes formes: 
    à la française : les plats sont présentés avec les ustensiles de service et les convives se servent eux-mêmes (il convient pour un nombre limité de convives) ;  
    à l’anglaise : les serveurs circulent avec les plateaux et déposent eux-mêmes les aliments dans les assiettes grâce à une pince 
(fréquemment utilisé pour les banquets) ; 
Dans ces deux cas le service est exécuté par la gauche des invités.  
    à l’américaine : les assiettes sont déjà garnies à la cuisine et sont posés devant chaque invité par la droite. 
Au repas officiel il faut respecter la préséance dans le placement à table et réserver le plus d’honneur à celui à qui l’honneur est fait. (Voir le placement à table). 
Dans un repas intime ou entre amis, il n’y pas de préséance protocolaire. Toutefois il faut tenir compte de celui qui est honoré, et de l’alternance homme-femme et de l’âge des convives. 
 

 

V.     L’ART DE LA TABLE 
Le repas autour d’une table avec des convives est un temps où les qualités de savoir-vivre et de politesse de chaque individu sont largement testées.  
Les invités autour d’une table mangent, mais se parlent aussi, s’observent, s’écoutent sur une période qui peut souvent durer plus de deux heures. 
 
A-    LES DIFFERENTS TYPES DE TABLES 
En règle générale il a deux grands types : la table anglaise et la table française. La différence se trouve au niveau de la disposition des couverts et du contenu du menu. La table anglaise met beaucoup l’accent sur le contenu des repas quand la française porte plus d’attention sur les breuvages (avec beaucoup de verres). 
On trouve aussi différentes formes de tables : ronde, rectangulaire, ovale, carré, circulaire. 
Notre cours portera sur la table française. 
 
B-    LE DRESSAGE D’UNE TABLE 
La règle de base pour mettre le couvert, c’est la disposition des couteaux, fourchettes et cuillères. L’image ci-dessous permettra de placer ceux-ci comme il se doit. 
 
    coté bombé au-dessus pour les cuillères ; 
    coté tranchant vers l’assiette pour le couteau ; 
    les dents vers la table pour la fourchette ; 
    Couteaux à droite, fourchettes à gauche ; 
    Les lames des couteux doivent toujours être orientées vers l’assiette ; 
    Les couverts placés entre les verres et l’assiette (fromage et dessert) doivent toujours avoir le manche du côté droit ; 
    Les couverts doivent être organisés selon leur ordre chronologique d’utilisation ; 
    Les verres sont placés du plus petit au plus grand (verre à vin blanc ; verre à vin rouge ; verre à eau- verre à champagne) 
Si vous avez le moindre doute sur l'attitude à adopter face à tel ou tel plat, à tel couvert ou verre, attendez un peu, observez la façon d'agir des autres invités ou de votre hôtesse, et imitez-les. 

 

C-    LE PLACEMENT A TABLE 
C’est généralement l’hôtesse qui place ses invités à table, il faut donc attendre qu’elle vous indique votre place.  
Si vous êtes un homme, vous serez placé entre deux femmes, car la maîtresse de maison souhaite alterner les convives de chaque sexe. Par contre, l’invité à honorer se trouvera à droite de l’hôte. 
Il faut également tenir compte des difficultés linguistiques, des affinités et de l’alternance des sexes dans le placement à table. 
 
D-    LA TENUE A TABLE 
A table, il y a certaines règles auxquelles il ne faut pas déroger si on veut être élégant, surtout lorsqu’on est invité chez quelqu’un. Bien sûr, certaines d’entre elles vont probablement paraître évidentes, mais elles ne sont pas évidentes pour tout le monde ! 
    on ne commence pas le repas par « bon appétit », ou « on va manger » ; 
    on peut s’assoir une fois que la maitresse de maison est assise seulement ; 
    La serviette que l’on a trouvée placée sur son assiette sera posée à moitié dépliée sur ses genoux et non autour du cou. la même serviette sera déposée en vrac sur la table après avoir fini de manger; 
    on commence son assiette seulement quand tout le monde est servi et que la maitresse de maison a commencé ; 
    Vous devez vous tenir droit et ne pas vous penchez pour attraper votre nourriture. C’est la fourchette qui vient à la bouche, pas le contraire ; 
    Les coudes doivent rester près du corps, pour ne pas donner des coups à vos voisins ; 
    Les hommes servent le vin aux femmes, et non les femmes ellesmêmes ; 
    Les coudes ne doivent JAMAIS être posés sur la table ; 
    Les mains doivent rester sur la table, et non sur les genoux ; 
    La salade ne se coupe pas au couteau, mais à la fourchette ; 
    On ne pousse pas la nourriture avec son couteau, et encore moins avec ses doigts, mais avec un morceau de pain de taille raisonnable. 
On sert d’abord les dames, en terminant par la maitresse de maison, et ensuite les hommes, en terminant par le maître de maison. En faisant ainsi l’hôte se comporte en chef de famille. Le père songe d’abord au bienêtre des siens avant de songer à lui-même. Les hommes se chargent de remplir les verres des femmes et de faire la conversation avec elle. Si vous jugez que vous avez assez bu, laissez votre verre plein, on ne vous en reversera plus.  
Si l’hôtesse vous demande de vous resservir, il est poli de refuser une première fois, pour ne pas avoir l’air gourmand. Attendez qu’elle vous demande une nouvelle fois pour accepter. 
En revanche, si vous n’aimez pas un plat, essayez d’en manger un peu quand même, pour ne pas offenser vos hôtes.  
Enfin, l’usage de laisser un petit quelque chose dans l’assiette pour montrer qu’on n’est pas gourmand ou qu’on a assez mangé n’est en fait guère pratiqué : les convives ont plutôt le sentiment que, ne pas finir son assiette risque d’offenser les hôtes et surtout votre hôtesse, qui a passé du temps à choisir et à préparer les plats. 
On ne prend jamais une arête de poisson avec ses doigts, on la dépose du bout des lèvres sur la fourchette et on la place sur le côté de l’assiette.  
On ne parle pas la bouche pleine, on ferme la bouche en mangeant; on ne souffle pas sur le potage pour le refroidir; on ne coupe pas sa salade avec son couteau, ni son omelette, ni les pâtes. 
On ne coupe pas le pain avec son couteau, on le “rompt” avec ses mains.  
Lorsqu’on a fini, on pose ses couverts (fourchette et couteau) sur son assiette, sans les croiser, la pointe de la fourchette tournée vers le bas. 
L’usage du cure-dents est rigoureusement interdit à table. 
Lorsque l’hôtesse en donne le signal, les invités peuvent quitter la table, ils déposent alors leur serviette (non pliée) près de leur assiette en se levant. 
     
VI.     LE SAVOIR-VIVRE EN MILIEU PROFESSIONNEL 
 
Si les règles de savoir-vivre ne peuvent pas supprimer les frictions, tensions et incompatibilités d’humeur dues à la vie professionnelle, elles permettent dans bien de cas d’atténuer les gênes et les blessures qu’entrainent la cohabitation journalière des sept (07) à huit (08) heures et trente-cinq (35) à quarante (40) heures hebdomadaires dans les bureaux  parfois exigus. 
A ces règles générales de politesse énumérées plus haut (hiérarchie des valeurs, bienveillance du chef, similitude réciproque des égaux, déférence du subordonné, exactitude et discrétion) s’ajoutent celles inhérentes aux rapports hiérarchiques.  

 

1. Les rapports hiérarchiques 
La hiérarchie, c’est l'organisation d'un groupe, d'un corps social, telle que chacun de ses éléments se trouve subordonné à celui qu'il suit. Dans l’administration, la hiérarchisation est basée sur une autorité de compétence et non pas uniquement de statut. C'est-à-dire que les personnes qui occupent des postes à responsabilité le sont parce qu'elles ont prouvé leur savoir-faire et leur professionnalisme.  

 

Les rapports entre le supérieur hiérarchique et le subordonné sont basés sur des valeurs. Le fonctionnaire doit faire preuve de discrétion, de courtoisie, de cordialité et de discipline. Des valeurs importantes dans l’Administration. 
 

La discrétion est une qualité systématiquement recherchée dans certaines fonctions et appréciée dans toutes. Le discret est quelqu'un qui ne parle pas à tort et à travers. La discrétion implique qu’on ne s’étende pas sur sa vie professionnelle, ses soucis d’argent ou de santé ; si, pour une raison ou une autre, vie privée et vie professionnelle interfèrent, il vaut mieux ne pas en donner le spectacle au bureau. 
Un milieu de travail où règne la courtoisie, c’est où les agents sont respectueux et attentionnés envers leurs collègues ainsi qu'envers les usagers-clients. 
Etre cordiale, c’est avoir une ouverture de cœur, être sympathique, chaleureux etc... Une valeur qui créé une atmosphère paisible et agréable en milieu professionnel.  
La discipline dans l’administration consiste à imposer des règles de conduite, par le jeu possible de sanctions. Ces règles peuvent prendre des formes diverses mais toujours est-il que l’objectif c’est la meilleure organisation et le rendement de la structure. 
 
    Un supérieur hiérarchique doit considérer avec respect les personnes qui occupent des postes inférieurs, un subordonné doit respecter la hiérarchie. 
    Le Chef et le subordonné doivent collaborer. Un supérieur hiérarchique accepte les échanges sans se barricader dans son bureau ; un subordonné ose demander des explications supplémentaires s’il en éprouve le besoin. L’un et l’autre admettent qu’ils ne savent pas tout et peuvent s’assurer que le message ou le problème a été bien compris. 
 
    Un supérieur hiérarchique attend que son collaborateur lui donne des idées, il supplée ses carences, sans pour autant se décharger de ses responsabilités ni abandonner son pouvoir de décision. Il ouvre sa porte, donne les rendez-vous à ceux qui le souhaitent sans faire attendre, il admet les questions. Un subordonné n’importune pas son patron. Il n’abuse pas de son ouverture. 
 
    Le supérieur hiérarchique doit respecter le temps de liberté des subordonnés et se faire discret lorsque cela est nécessaire. Il s’efforce de ne pas retenir ses collaborateurs au-delà des heures de travail. Devant un tiers, (relations professionnelles avec un autre service ou avec l’extérieur), le supérieur hiérarchique sait présenter et faire valoir ses collaborateurs. Toute remarque désobligeante, même justifiée, est à proscrire en public. Un subordonné ne dénigre pas sa hiérarchie après de autres collègues et des personnes extérieures. 

 

Au bureau 
En plus des usages et tenues vestimentaires exigées par l’Administration ou les activités auxquelles l’on est associé, il faut être poli et respecter ces quelques règles :  
    dire bonjour et au revoir, toujours frapper à la porte avant d’entrer dans un bureau ;  
    se lever lorsque le supérieur hiérarchique entre dans le bureau  ou dans une salle;  
    respecter les horaires et être ponctuel, ne pas s’investir dans les bruits de couloir ;  
    participer à la vie collective du bureau ou du service ;  
    ne pas toujours refuser de déjeuner avec les autres, ne pas non plus insister pour déjeuner avec quelqu’un qui visiblement n’y tient pas ;  
    ne pas abuser du téléphone ni de l’internet à fins personnelles ;  
    ne pas laisser le téléphone sonner plus de huit(08) coups, 
    sauf cas d’extrême urgence, ne pas appeler avant 09h ou après 21h30 pour des questions professionnelles et la concision est de mise ; 
    lorsqu’on partage un bureau éviter les bruits et les nombreuses visites personnelles ou familiales ;  
    la décoration doit être sobre et tenir compte des goûts de chacun ;   chacun doit user avec discrétion de ses souvenirs personnels. 
Il est important d’éviter : 
    une allure négligée ;

    un chewing-gum : 
    des piercings ou tatouages apparents; 
    un maquillage extravagant ; 
    des ongles pas soignés ; 
    une moustache ou une barbe mal entretenue ; 
    des collants filés; 
    des boutons décousus ; 
    des ourlets défaits ou de mauvaise longueur ; 
    des pellicules sur les vêtements ; 
    des cheveux gras ou sales ; 
    des chaussettes vieilles sales ; 
    des chaussures pas cirées ; 
    des pantalons trop courts ; 
    des habits froissés ; 
    une mauvaise haleine ; 
    des mains moites ; 
    des couleurs vives ; 
    le slip visible ; 
    Les traces de transpiration… 
En réunion 
La réunion est un cas d’école lorsqu’on aborde la question du savoir-vivre en milieu de travail. On l’oublie parfois mais la salle de réunion est un espace où doit régner un minimum de discipline : 
    être ponctuel : arrivez à l’heure à la réunion : si vous devez arriver en retard, prévenez l’une des personnes présentes en avance. Lorsque vous arrivez, veillez à faire le moins de bruit possible et installez-vous rapidement ;  
    le savoir-vivre exige d’éviter les fautes de français à l’écrit comme à l’oral. Il faut bien préparer son intervention ; 
    il faut éviter de manipuler son téléphone ;  
    ne pas s’emporter sur un sujet sous prétexte qu’on a un point de vue bien arrêté, mieux vaut tempérer sa passion. 
    Il ne faut pas couper la parole mais attendre son tour de parole. 
 

 

Pour une formation plus approfondie, vous pouvez nous contacter

M. BOA JEAN YVES
Formateur

LE SECRET DE L’ENTREE AU PARADIS

 

Renaître à nouveau : passer de Adam, l’homme brut avec tous les défauts à Jésus-Christ, l’homme accomplis, parfait avec toutes les qualités.

Il en est de même pour le marketing de réseau (et toutes activités que nous voulons mener). Il faut opérer un changement total de tout ton Etre : la façon de parler, de penser, de voir, de marcher, d’écouter.

« Étroite est la porte qui mène au Paradis » (Math 7 :14) : seuls ceux qui font sérieusement un effort de changement vont accéder au Paradis, ceux qui font plus que les autres, ceux qui font les sacrifices que les autres ne font pas.

Dans le monde des affaires, c’est la même configuration, seulement 5% de la population gagnent 95% des richesses de la population ; ce n’est pas un fait du hasard. Cela s’explique par le fait que les 5% font plus que les 95% (ils travaillent plus, réfléchissent, s’engagent véritablement).

Nous avons tous été formatés selon certaines croyances qui font ce que nous sommes actuellement ; alors pour émerger du lot, il faut renaître de nouveau.

En tant que Leader, nous devons être nous-mêmes nés de nouveau et communiquer le résultat aux autres ; notre façon de vivre, de travailler, de penser, etc. nous devenons des modèles

La réussite dans le marketing de réseau basée sur modèle de Jésus-Christ opère une transformation réelle dans l’être et l’avoir de celui qui le pratique.

LE SECRET DE LA RÉUSSITE

  • Devenir Extra-ordinaire

« Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. »                               

Selon la Bible, quand on vous demande de faire un kilomètre, faîtes-en un de plus ! pour le distributeur d’un Marketing de réseau, le kilomètre additionnel c’est apprendre plus que les autres  (apprendre à connaître son entreprise, les produits, le plan de rémunération et les outils et stratégies de Marketing), avoir des idées, faire des sacrifices, affronter la pluie quand les autres dorment,  le soleil quand les autres cherchent la fraîcheur, dormir moins quand les autres se blottissent dans leurs draps.

  • Le Changement a opéré

Le changement commence maintenant, il commence par l’élaboration d’un plan d’actions, par la mise en pratique d’un rituel.

Apprenez à établir un rituel et à l’appliquer quotidiennement ; cette attitude engendre une certaine discipline qui mène surement à la réussite.

La mise en place du rituel permet de s’auto-discipliner.

Nous avons établi un exemple de rituel que vous pouvez suivre ou copier un modèle de genre.

  1. Se lever à 5h du matin

  2. Prier pendant 15 minutes

  3. Méditer sur ses projets pendant 15 minutes

  4. Lire un bouquin durant 20 minutes

  5. Pratiquer un sport durant 10 minutes

Mathématiquement nous avons 1 heure réservée pour travailler sur nous.

L’importance de l’autodiscipline et de la duplication c’est de rendre le Leader capable de transmettre la Connaissance véritable et les moyens d’actions afin que ceux-ci puissent continuer le travail, et implanter le réseau ailleurs.

 

 

M. BOA JEAN YVES

BOOST YOUR MIND

Des petits pas pour de grandes réalisations

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